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Ce récit, salué par la critique, est celui d'une résilience qui devrait trouver un public. Myriam parle d'un thème que l'on tait habituellement : l'inceste. Elle écrit ses indicibles comme les tableaux qu'elle peint, comme l'amour qu'elle donne, comme les mots qui l'habitent. À la lecture de L'Orteil de mon père des auteurs estimés se sont exprimés.
Benoîte Groult, La Touche étoile, « Quel titre ! Et que votre histoire e.st édifiante ! Dès vos huit ans tout y est de ce qui conditionne les femmes à la honte, à l'incertitude, à la soumission » Christophe Girard, Père comme les autres, avoue avoir été touché :
« L'Orteil de mon père est un très beau livre : intense, courageux... » Enfin Boris Cyrulnik, Les vilains petits canards, sur l'inceste et le dernier, Sauve toi la vie t'appelle sur la volonté de surmonter le malheur - a aimé le combat de cet enfant puis de cette femme à choisir toujours la vie : « Vous avez été grièvement blessée, vous auriez pu rester fracassée, mais le livre prouve que vous vous êtes bien battue. Bravo pour votre victoire et votre belle évolution ».
Le lecteur y découvrira aussi comment l'Afrique a aidé cette femme à se reconstruire. Un récit pour laisser place à l'espoir.
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