L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Avez-vous peur de la mort ? demandait-on à l'une des femmes les plus influentes de Paris. Florence Gould répondit : " Pourquoi aurais-je peur de la mort, moi qui dors si bien ? " Claude Michel Cluny partage sans réserve ce sentiment. La leçon stoïcienne n'a cessé de résonner et de lui faire raison garder au long de son journal littéraire. Pour autant, il ne parcourt le monde ni ne vit les yeux fermés, bien au contraire. " Nous sommes en guerre depuis trente ans " assure-t-il encore une fois. Lui qui a su définir bien avant qu'on ne parle de " guerre asymétrique " les formes nouvelles de conflits que nous allions devoir affronter, ne nourrit aucune illusion. La démission et la faiblesse des démocraties face aux dangers, rappelle-t-il, a toujours fait le lit des totalitarismes.
De même qu'il dénonce le saccage de la planète, et l'aveuglement des écologistes pour qui " le péril n'est jamais à l'Est ", il constate que la France accepte la confusion entre droit de grève et anarchie, s'affiche comme refuge des assassins et des pires dictateurs. Mais ce qui étonne encore, c'est la soif de vivre intacte de Cluny, " riche " du bonheur que lui offrent ses jeunes amants - les " Dioscures " -, sa capacité d'émerveillement, aux Philippines, en Suisse, au Japon ou en Malaisie. " La vie est à prendre " a-t-il affirmé adolescent. Écrire, n'est-ce pas la partager ?
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