"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'hiver 1933-1934 voit la mission archéologique française s'installer sur le site de Tell Hariri, en Syrie.
André Parrot, qui dirige l'expédition, s'attache à explorer un nouveau secteur lorsqu'il découvre deux statues. La première, représentant un souverain, porte inscrits son nom et son royaume : Mari. Une inscription sur la seconde révèle le nom et le titre d'un personnage, "Ebih-Il, intendant". Assis sur un siège de roseaux, Ebih-I1 se présente à la divinité, Istar virile, les mains contre la poitrine, le regard tendre et profond posé sur ce lointain supérieur dont l'aura l'illumine au point qu'il en esquisse un sourire d'émerveillement.
La qualité de la statue indique la place exceptionnelle réservée au sein de la communauté de Mari à ce personnage, dont la fonction exacte semble à l'évidence dépasser le simple titre d'intendant. C'est ce que démontre l'étude toute récente de Sophie Cluzan et Camille Lecompte, qui offre ainsi à notre curiosité l'élucidation d'un passionnant mystère.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !