Clair de lune, chanson malhonnête Tu m'as cédé tes ailes, et pourtant l'essor m'est impossible Je déraisonne lors de ton voyage, de ta balade concrète Je présume reconnaître ma cible, or elle ne peut m'être si visible Profond Océan sanguin, je m'y submerge desséchée de grâce Jeune homme au coeur gai, je vis fort lointain au regard de sombre agace Petit cailloux malheureux, toi, que les couleurs ont abandonné Il n'y a que moi, qui puisse entendre ton soupir attentionné Moi, qui suis, matin et soir, prête à t'offrir l'honorable espoir Je perçois le temps, méchamment traverser les dunes de nos jours J'évite, par tout moyen, l'évasion de l'attention noire Prie, prie petit cailloux, afin que l'intervalle ne fasse de ton monde Maitre de la faiblesse, fruit d'une vague histoire Un pauvre oubli sinistre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
