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Le mensonge, dit-on, est un « vilain défaut ». Mais grâce à son imagination créative, l'homme est parvenu à le sublimer. Il l'a sculpté dans le bois et l'a baptisé : PINOCCHIO. Puis il lui a greffé un appendice nasal à géométrie variable. Depuis, il invente des trompe-l'oeil pour masquer ce renégat facial : cachez ce nez que je ne saurais voir !
L'État Pinocchio révèle le malentendu, pire, le gouffre abyssal d'incompréhension entre l'Homo politicus et le citoyen lambda. Arrivé au Pouvoir et devenu Prince, le premier se doit d'être exemplaire, aux yeux du second. Il lui faut dire la vérité et s'interdire le mensonge. L'une érigée au rang de vertu, l'autre ravalée à la condition de vice. Las ! De tout temps et en tous lieux, les Princes mentent - ce qui, à vrai dire, ne constitue pas un scoop.
Bien que commis par un universitaire, « l'État Pinocchio » est un essai satirique qui s'adresse à tous, de préférence aux hommes politiques et à leurs « victimes » : les citoyens. et électeurs. Ça fait du monde.
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