A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Maya, Loan et Valentin sont inséparables. Mais quand un petit nouveau qui n'a pas froid aux yeux arrive dans la classe, les règles du jeu sont bousculées. Au rythme des journées qui passent, cette minisociété enfantine va connaître des instants forts, des alliances mouvantes et des moments de complicité. Dans une langue vive et ingénieuse, Catherine Verlaguet explore l'altérité et se glisse dans les cours d'école où amitié rime souvent avec cruauté.
Lorsqu'on commence cette petite pièce de théâtre, on découvre trois personnages, trois enfants, chacun avec son caractère bien défini voire à la limite du stéréotype.
Puis arrive un nouvel élève qui vient bouleverser l'équilibre du trio d'amis ainsi que nos certitudes sur chacun d'eux.
Et on peut dire que je ne m'attendais pas à ça même si le titre m'avait un peu aiguillé dans ce sens. Tout doucement, insidieusement, les rapports entre les enfants évoluent pour finir par faire basculer l'histoire. J'aime le fait qu'aucun des personnages ne soit tout blanc et surtout que le méchant ne soit pas aussi noir que ce que l'on aurait pu croire.
Une histoire à la fois glaçante et poétique (plus tard je serais conducteur de nuages !) qui aborde de nombreux thèmes liés à l'enfance, les complexes, la violence, le harcèlement, les parents absents mais aussi l'amitié, la solidarité, tout ça en moins de 100 pages, oui oui !
Valentin, Maya et Loan sont copains d’école. Complices, ils se font confiance et jouent ensemble aux récréations.
Mais quand Malone, un garçon que la rumeur dit violent et exclu d’une école voisine, arrive dans leur classe, leur amitié se fissure. C’est d’abord Loan qui se prend soudainement d’amitié pour le nouveau venu, quitte à se faire obéissant, voire servile. Maya hésite entre son ami de toujours Valentin et un nouveau copain de jeu… Malone quant à lui lutte contre sa violence mais l’exprime par ses mots, faisant de gros dégâts. Peut-on jouer de tout entre enfants ? Peut-on rire de tout ? Les mots peuvent-ils faire mal ?…
Dans une écriture très belle et poétique, Catherine Verlaguet évoque avec beaucoup d’actualité et de force les thèmes de l’amitié, du harcèlement, de la trahison ou encore le poids des rumeurs et des clichés.
Tout n’est pas si simple, personne n’est ni blanc ni noir… Un récit qui illustre parfaitement la cruauté des enfants, mais en même temps leur part d’ingénuité.
Mon fils m’a fait découvrir ce petit livre, pièce de théâtre tout en dialogues, qu’il a lu et apprécié à l’école, de même que de nombreux copains. Pour ma part c’est une très belle découverte, j’ai beaucoup aimé la forme théâtrale qui retranscrit très bien ce qui peut se passer dans une cour d’école, la poésie des mots, les nombreux jeux de mots… A partager sans hésitation !
https://mesmotsmeslivres.wordpress.com/2016/06/22/les-vilains-petits-de-catherine-verlaguet/
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