"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« À Coeurs Vaillants, rien d'impossible », cette fi ère devise attribuée à Jacques Coeur ornait le bandeau-titre de Coeurs Vaillants. Né dans la capitale de l'Artois de l'initiative de quelques prêtres arrageois avant d'être repris par l'Union des oeuvres catholiques et de connaître un succès national, cet illustré a laissé un souvenir marquant dans la mémoire de ses anciens lecteurs. Ne serait-ce que parce qu'il a popularisé le premier les aventures de Tintin et Milou en France. Objet de mémoire chéri aussi car la presse illustrée était un des principaux loisirs de la jeunesse, du moins de la tranche d'âge 7-14 ans, avant le déferlement de la télévision. Longtemps négligée par les historiens, cette presse s'insère tout à la fois dans l'histoire de la presse, de l'édition et de la jeunesse. Les éditeurs chrétiens ont très tôt investi ce territoire de la culture et des loisirs enfantins, persuadés, non sans raison, de trouver là un terrain propice à la diffusion de leurs messages éducatif et spirituel, voire même politique. Les presses enfantines chrétiennes sont comprises dans la plus large acception, presse confessionnelle bien sûr, mais aussi presse nourrie d'esprit chrétien, La Semaine de Suzette ou Lisette tout autant que Coeurs vaillants ou Pomme d'Api.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !