Roger ne se qualifie pas de poète. Il utilise ce style d'écriture pour être économe en mots et éviter la dissertation, l'emphase, toute la «?graisse verbeuse?». L'auteur n'a pas la prétention de laisser penser qu'il serait dépositaire d'un Message de l'Éternel. Il tente juste de s'en approcher avec des mots imagés, pour décrire ces choses indescriptibles dont il est témoin, quand les Portes du Ciel s'entrouvrent... En cela, il s'agit bien de poèmes vécus et non nés de l'imaginaire, de divagations poétiques, d'élucubrations. Dans ses Poèmes Célestes, Roger fait en sorte que le Beau, le Tout Autre, règne en maître absolu. Un bain de jouvence spirituel dans lequel il faut se plonger absolument...
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