"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le dessin et l'humour ont une longue histoire commune. Mais la peinture ? Est-elle vraiment compatible avec l'humour ? N'y a-t-il pas, dans la flamboyance des couleurs, dans la lente composition des formes, quelque chose d'étranger à la fulgurance du trait d'esprit ?
L'oeuvre d'Olivier O. Olivier démontre le contraire. Chez lui, l'humour et la peinture sont intimement liés. L'art ne s'efface jamais devant l'idée, il la sert, il lui donne chair. Concerts de violons en feu, corridas sous la neige, concertiste emporté par les flots faisant jaillir de son piano un océan entier, ligne d'horizon recourbée : avec pudeur, douceur et persévérance, le peintre voit notre monde avec les yeux de son imagination et nous le restitue décalé, fourmillant d'associations ludiques et poétiques, et cependant si familier.
Deux cents peintures emmènent le lecteur dans l'univers irraisonnable et jouissif d'un grand artiste de notre temps, qui fut l'ami, entre autres, de Roland Topor et de Fernando Arrabal, avec lesquels il partagea la passion d'une autre réalité.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !