L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Il n'est aux Antilles françaises nul récit d'esclave, seuls restent les témoignages des maîtres. Louis-Xavier Eyma est l'un de ceux-ci, dans ses nouvelles il présente l'univers plantationnaire. Son oeuvre, Les peaux noires (1857), s'inscrit dans le contexte de l'anthropologie contemporaine centrée sur les races humaines, sa fréquentation des Noirs et des gens de couleur remédiant sans doute à ce que le discours métropolitain avait de fantasmatique. Ce livre constitue une sorte d'ultime plaidoyer sinon en faveur de l'esclavage au moins de ceux qui le pratiquèrent.
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L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique