Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Depuis les bancs de l'école en 1950, Dilette la trop discrète, Gigi le bienheureux, et Bouboule le mal-aimé ont lié intimement et pour toujours leurs destins.
Des pages de tendresse au plus près des âmes et des coeurs blessés.
Villers est un village d'à peine cent habitants, dans la Meuse profonde. En 1950, l'instituteur y gère la classe unique, où il tient les enfants avec autorité et bienveillance. Parmi ses élèves, il y a Dilette, la petite orpheline qui ne parle, ne rit, ne joue presque plus. Seule sa grand-mère veille sur elle.
Luigi, dit Gigi, petit dernier d'un couple d'origine italienne, est l'enfant heureux d'une famille heureuse.
Enfin, Claude, dit Bouboule, arrivé longtemps après trois aînées. Ses parents ne le maltraitent pas, mais il manque de tendresse. Il a conscience de sa singularité, ce qui le rend taciturne et sournois.
C'est à l'école que vont naître dans ce trio des sentiments d'enfants - jalousie, envie, trahison, amour - tenaces et vécus avec une intensité qui échappe souvent aux adultes, et qui vont construire ou déconstruire leur vie...
Bon, j'aurais du me douter.
Le titre d'abord « Les ombres de l'enfance », ça sent le mélo.
Le genre, vaguement terroir
Mais j'ai vu que ça se passait en Meuse, ma région.
Que ça parlait d'un instit, mon métier.
Or il est à peine question de l'un comme de l'autre.
L'histoire n'a rien d'extraordinaire.
Trois enfants dans un village que l'on suivra jusqu'à leur vie d'adultes.
Le style est basique
Bref, un roman très commun qui ne m'a pas apporté grand chose.
J'aurais du me fier à mon instinct.
Dans Les ombres de l'enfance, l'auteure prend le temps de nous présenter chaque famille, leur histoire, dans quel milieu et quelle condition est né chaque enfant. Au cœur de la Meuse, durant la Seconde Guerre mondiale, la jeune Dilette fait battre le cœur de ses deux chevaliers servants. Mais comme dans chaque trio amoureux, elle n'en choisira qu'un. Les deux garçons se battent pour être le centre d'attention de la jeune fille. Dans le cas de figure présent ici...
Avis complet : http://sariahlit.blogspot.fr/2015/07/les-ombres-de-lenfance.html
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force