"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Paris, 9 février 1975, un hold-up tourne mal. Un gangster est abattu par la police après avoir blessé un policier. Les malfrats se réfugient dans la banque et prennent en otage les clients et employés. Les gangsters réussiront à s'échapper, avec le butin et plein de projets. Cinq ans et quelques hold-up plus tard, l'un d'entre eux est tué lors d'un contrôle de police. Les autres membres du gang décident de réagir et de braquer à nouveau des banques. La méthode choisie est simple : ils entrent grimés de barbes et de perruques postiches dans les agences et restent le temps de vider un maximum de coffres-forts. Le gang des postiches est né. Forts de leurs succès, ils n'hésitent pas à braquer plusieurs banques dans la journée, face à une police impuissante et envieuse. Jean-Patrick Manchette considérait le roman noir comme un dénonciateur social. David B. reprend le flambeau du maître du polar pour parler de la société des années 80, et d'imaginer de l'intérieur ce qu'a pu être la vie de ce gang pas comme les autres.
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