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Née à Jérusalem, May est partie en 1948 pour s'exiler aux Etats-Unis où elle s'est forgée une renommée internationale dans la peinture. A l'approche de la mort, l'artiste exprime le voeu d'être inhumée dans sa ville natale. Peut-on retourner sur une terre lorsque celle-ci change et qu'on n'habite plus son enfance ?
May est une artiste peintre américaine, d'origine palestinienne, qui a quitté Jérusalem en 1948, dans des conditions dramatiques. A la fin de sa vie, elle est tentée par le retour au pays. Cinquante ans d'absence, d'exil forcé et autant d'années pour se forger une renommée internationale dans la peinture. Les années passent, elle tombe gravement malade et souhaite être enterrée à Jérusalem, sur la terre de ses origines, mais les autorités israéliennes lui refusent cette requête, ce dernier souhait. Elle demande donc à son fils, Juba, de l'incinérer et de disperser ses cendres sur les lieux de son enfance.
Une question ontologique traverse entièrement le roman : peut-on retourner sur une terre lorsque celle-ci change et qu'on n'habite plus son enfance ? May, qui a fini de buter contre les murs de la solitude, inculque à Juba, malgré sa profonde détresse, l'art de s'ouvrir à une conversion vers l'homme, c'est-à-dire à un dialogue positif. Et l'art musical est le meilleur moyen d'y arriver.
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