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Un roman historique où l'on suit le destin d'Olga dans la société russe du 20e siècle !
Le prince Grigori Potemkine a été, dans la 2e moitié du XVIIIe siècle, le grand amour de Catherine II, impératrice de Russie. En 1905, l'équipage du cuirassé Potemkine s'est rebellé dans la rade d'Odessa et est devenu le symbole de la première révolution russe.
Une histoire d'amour et de sang. Tout est parti de là.
« Les enfants du Potemkine » est un livre à deux voix. Celle de la narratrice, d'abord. Et celle du scribe, qui conteste, s'indigne et finit par s'incliner. La narratrice, c'est Olga. Elle est née à Odessa en 1902. La Révolution bolchevique fait irruption dans sa vie en 1917. Elle survit par miracle, s'enfuit à Constantinople, à Rome, à Berlin, à Varsovie. Sa vie a été le théâtre d'une suite ininterrompue d'aventures et de rencontres, pendant qu'au même moment, dans le monde, s'enchainaient les révolutions, les guerres, les Années folles, le krach de 1929, pour se terminer par l'apocalypse en 1940.
Olga était très belle et a fait chavirer les coeurs de quelques hommes qui ont laissé une trace dans l'histoire du XXe siècle. Son histoire à elle s'écrit en quatre mots : l'exil, l'amour, les larmes et le sang. Elle est morte en l'an 2000.
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