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Manhattan, début des années 1980. En cet âge du Disco - comme il y eut un « âge du Jazz » décrit par Scott Fitzgerald - la jeunesse new-yorkaise va boire, s'amuser et danser au Club, l'endroit où il faut être. Pas n'importe quelle jeunesse, celle, diplômée et ambitieuse, qui a l'intention de conquérir la ville. Telles Alice et Charlotte, deux jolies filles employées dans l'édition, qui rencontrent un soir au Club quatre garçons frais émoulus de Harvard. Tous ceux qui ont vu le film de Whit Stillman, Les Derniers Jours du Disco, avec Chloë Sevigny et Kate Beckinsale, connaissent la suite.
Mais c'est une tout autre histoire qui est racontée dans Les Derniers Jours du Disco : le livre.
James Steinway, l'un des héros du film, danseur et publicitaire mais aussi - on le découvre - écrivain frustré, se voit proposer par la production d'écrire le roman du film. Vingt ans plus tard, il revient sur les conséquences que ces événements, à commencer par le succés du film lui-même, ont eu sur leurs vies.
Vitesse de la comédie, art des dialogues, perversité de la narration. Les Derniers Jours du Disco renverse les poncifs attachés à la littérature des années 1980. Ce n'est plus le roman jaloux des strass du cinéma, mais le cinéma qui aspire à la profondeur du roman.
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