La guerre et la paix alternent dans le temps de toutes les civilisations En effet, depuis Abel et ses successeurs, notre civilisation repose sur le meurtre et on ne peut qu'être frappé par la continuité de l'alternance des confrontations. Cette question de la guerre est irrésolue et permanente. Il faut donc s'interroger sur le sens des défaites ou des victoires qui n'en sont pas. Il faut questionner la beauté du monde qui est davantage source de conflits que de paix. Nous devons réfléchir sur les enchainements, les roues crantées de la pensée, la pertinence ou les insuffisances de ces réflexions parcellaires qui nous entrainent de la décision de guerre vers celle de la paix qui prélude souvent les conditions d'une nouvelle décision de guerre.
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