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Il s'agissait d'une étude transversale prospective menée au sein de la FMOS et FAPH. Cette étude effectuée sur la période du 15 Novembre 2015 au 3 Février 2016, avec un échantillon de 250 étudiantes soit environ 10% de la population féminine au sein des deux facultés. Elle avait pour objectif général d'étudier la connaissance, l'utilisation de la contraception en milieu estudiantin et ses effets secondaires. C'est ainsi que nous avons pu constater que les méthodes les plus connues par nos enquêtées étaient les pilules contraceptives et les préservatifs masculins soit 96,8% et 88,4% respectivement. La méthode la plus utilisée était la pilule post coïtale soit 61,2% et celles qui l'utilisaient régulièrement ont déclaré une prise de poids considérable. Malgré qu'elles soient des futures actrices de la santé, leur source d'information provenait des causeries entre camarades. La principale source d'approvisionnement était l'officine de pharmacie. Enfin nos enquêtées ont déclaré préférer les préservatifs masculins pour pallier à leurs inquiétudes relatives aux grossesses non désirées et les IST. En ce qui concerne les services de planning familial, seulement 28,5% les fréquentaient.
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