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Dans le silence d'un monastère du Vermont, un homme, Drew, cherche l'oubli d'un passé terrible.
Une nuit, un commando inconnu exécute tous les moines de la communauté. Seul Drew parvient à lui échapper. Mais le voilà rejoint par la violence qu'il avait voulu fuir. Qui a ordonné le massacre ?
Drew replonge dans sa vie : le souvenir de ses parents assassinés. Arlene, la femme qu'il a aimée. Son passé de tueur anti-terroriste. Ses réflexes de fauve dressé pour le combat.
Des alliés inattendus vont lui prêter main-forte une société secrète formée de soldats de Dieu qui, pour défendre l'Église, s'autorisent à tuer.
On les appelle : les Conjurés de la Pierre.
David Morrell est considéré aux États-Unis comme l'un des nouveaux maîtres du roman d'espionnages et d'action. Le public français l'a découvert en 1986 avec La Fraternité de la rose.
J'adore Morrell. Il m'a procuré de nombreuses heures de lecture incroyable dans mon adolescence. J'ai vraiment apprécié ce roman.
S’il ne devait y avoir qu’un seul mot, pour Les conjurés de la pierre, ce serait haletant ! Qui est Drew ? Qu’a-t-il voulu enfouir au fond de ce monastère ? Qui est à sa poursuite ? Comment va-t-il remonter jusqu’au commanditaires ?
Vous l’aurez compris, le suspense est au rendez-vous. Le scénario est hyper-efficace, le style percutant.
Ce livre, de mon point de vue, est à mettre en parallèle avec deux autres de David Morrell : La fraternité de la rose, et Les conjurés de la flamme. J’ai moins accroché aux quelques qui ont suivi, et je n’ai pas eu l’occasion de lire ceux parus depuis le début des années 2000. En tout, il a publié une petite trentaine de romans, depuis 1972, et le dernier en date en 2016, qui lui ont valu deux récompenses, le prix Bram Stocker pour Creepers en 2005, et le prix Inkpot en 2007. Mais David Morrell, que l’on aime ou pas, a également créé un personnage dont nous connaissons tous le nom : en effet, son premier roman, sorti en 1972 aux Etats-Unis, s’appelle… Rambo ! Je ne l’ai jamais lu – un retard à rattraper, un jour -, mais je me suis laissé dire à plusieurs reprise que le premier film n’était pas si mauvais, et que le livre dont il était tiré, lui, était carrément bon, ce qui lui a valu une réédition en 2013, chez Gallmeister. Alors… merci M. Morrell !
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