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Parus pour la première fois en 1851, les Cahiers du capitaine Coignet ont connu à chacune de leur édition un succès comparable à celui des Mémoires du sergent Bourgogne. Ils figurent parmi les témoignages le plus souvent cités sur les guerres de l'Empire.
Jean-Roch Coignet (1776-1865) commence sa carrière militaire à vingt-trois ans. Campagne d'Italie, admission dans la Garde, Austerlitz, Iéna, Friedland. Chevalier de la première promotion de la Légion d'honneur (15 juillet 1804), caporal en 1807, sergent en 1809, lieutenant pendant la campagne de Russie, il est nommé capitaine en 1813.
Retiré à Auxerre après la première abdication, il rejoint l'Aigle lors de son retour triomphal de l'île d'Elbe. Il se battra encore à Fleurus, et enfin à Waterloo. Le 31 octobre 1815, il est renvoyé comme demi-solde dans ses foyers, à Auxerre, où il mourra dans son lit, après avoir participé à quarante-huit batailles sans jamais recevoir une seule blessure.
À l'occasion du bicentenaire de la retraite de Russie, cette édition de poche des Cahiers du capitaine Coignet vient à point-nommé apporter un témoignage saisissant sur ce terrible épisode de l'histoire de France.
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