"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Je suis l'Essence de la Création. Applaudis l'immensité grandiose de mes vices ». I, 4.
Un bourgeon mutilé comme symbole d'une déchirure: celle de l'innocence. S'ensuit une réaction brutale à l'existence. Le traumatisme post-viol est retranscrit à ses différentes phases de maturation. Ses mécanismes autodestructeurs sont matérialisés dans les personnages féminins qui se superposent et s'entrechoquent. Hayet, la défunte, mais aussi l'auteur qui choisit la scène comme lieu d'exorcisation. Ici, la confrontation est introspective. Par le biais d'un basculement inconscient, la catharsis devient dynamique de création. Le jeu des personnages souligne une décadence morcelée vers la folie salvatrice, vers l'ivresse destructrice et vers la jouissance maladive qui répondent au traumatisme.
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