"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Chaque matin Lucio déguste un beignet d'Oscar, son beau-père, assis à une table devant la boutique, partageant quelques miettes avec un moineau extraverti. Un instant privilégié, une madeleine de Proust qu'il garde secrète. Il ne faudrait pas que Paola, sa femme, apprenne ses écarts gourmands. Quoique maintenant, ça n'ait plus grande importance. Elle a découvert son aventure avec Mme Moroni. Une incartade qui lui vaut d'être mis à la porte. Et comme les ennuis, c'est bien connu, débarquent toujours par paire, il fait la rencontre de l'ami Fritz. Lucio aurait sûrement préféré ne jamais croiser sa route. Pourtant, avec lui, il va passer les cent jours les plus heureux de sa vie. De ceux que l'on veut laisser derrière soi comme des souvenirs que nos proches chériront toujours. Cent jours qu'il se doit de rendre inoubliables.
Fausto Brizzi est un réalisateur, scénariste et producteur italien plusieurs fois récompensé. Les Beignets d'Oscar ou Mes 100 jours de bonheur est son premier roman, qui l'a immédiatement propulsé sur le devant de la scène littéraire internationale avec des traductions en cours dans 30 pays.
J'ai adoré ce livre dès les premières pages. Le style de l'auteur est agréable, fluide, on tourne les pages et on se régale chapitre après chapitre. Tout au long du roman, l'émotion est palpable, me laissant quelques sanglots au fond de la gorge. Les beignets d'Oscar est une histoire tendre et belle, qui sous couvert d'un humour grinçant et d'une légèreté de ton parle d'un sujet difficile.
Un livre très agréable sur les bonheurs de la vie, l'importance de profiter de chaque moment. Un roman que l'on referme avec un regard différent, et l'envie de profiter.
Quand une gourmande comme moi repère un roman avec une couverture pleine de douceurs sucrées, elle ne peut résister à se l’offrir.
Ma seule crainte, que le contenu ne soit pas à la hauteur du contenant.
Je n’ai pas du tout été déçue, ce roman de Fausto Brizzi est un véritable coup de cœur.
Dès les premières pages, j’ai été séduite par la plume de l’auteur. Son style est agréable, fluide, on tourne les pages et on se régale chapitre après chapitre.
On se prend de sympathie pour les personnages, pour Lucio bien sûr mais aussi pour Paola, pour ses enfants mais ma préférence va à Oscar. Il me rappelle mon grand-père, lui aussi boulanger. Seule différence, il ne faisait pas de beignet mais il faisait les meilleures couques au beurre du monde.
Tout au long du roman, l’émotion est palpable, me laissant quelques sanglots au fond de la gorge. Mais ce n’est pas un livre larmoyant, l’humour est présent malgré tout.
Dans un style léger, ce roman nous recentre aussi sur l’essentiel dans la vie. Non pas les biens matériels ou le travail mais bien la famille, les amis et la nécessité de profiter de la vie et des gens qu’on aime avant qu’il ne soit trop tard.
Dans « les beignets d’Oscar », Lucio vit les 100 meilleurs jours de sa vie. Moi j’ai vécu 2 grands jours de ma vie de lectrice avec ce superbe roman.
Alors, si vous aussi vous avez envie d’une douceur sucrée mais sans les calories, foncez en librairie.
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