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Quoi de plus éphémère que les affiches ? On les voit sans les voir, elles se déchirent, on les piétine. Et pourtant, selon Jean- Michel Folon, leur rareté vient précisément de leur modestie.
Tout au long de sa carrière, il en a réalisé près de six cents qui sont autant de chefs-d'oeuvre d'inventivité, de sensibilité et de poésie. C'était sa façon à lui « d'entendre le monde en marche ».
La tragédie de Tchernobyl, les conflits ethniques, la faim, la violation des droits de l'homme, mais aussi la beauté, la joie de vivre, la fête : il s'inspirait de tout ce qui exprimait le monde car « il y a des jours où vous avez envie de crier et des jours où l'on a envie d'aimer ». Pour la première fois, les Cahiers dessinés réunissent cent soixante affiches en reproduction couleur accompagnées d'un entretien et de textes, pour la plupart inédits, sur cet art que Jean-Michel Folon considérait comme étant « le plus visuel, le plus fort et le plus direct ».
Une préface de Pierre Alechinsky éclaire le lecteur sur cette partie si importante de l'oeuvre de cet immense dessinateur.
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