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C'était il y a 51 ans. Henri Charles Bonnet envoie à Magdeleine une lettre quotidienne dans laquelle il raconte ses péripéties militaires, en France puis en Algérie.
Ce journal, nettoyé de ses banalités, redondances et formules intimes d'amour et de désespoir est à l'origine du Violon blessé. L'auteur y ajoute ensuite ses « réminiscences » d'aujourd'hui, qui mettent en lumière ce qu'il n'avait pas pu écrire à l'époque - que ce soit pour ne pas affoler son entourage ou par pudeur.
À la mort de Magdeleine, l'ouvrage connaît une longue éclipse. Puis, une fois le temps du deuil révolu, l'auteur remet sur le métier ces « maux croisés » et les étoffe : extraits de lettres de son épouse Magdeleine, de ses parents, de ses proches, de professeurs, d'amis...
En décembre 2012 le point final est apposé et Le violon blessé est prêt à vivre sa vie.
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