"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cet ouvrage rend compte de la querelle qui oppose depuis l'Antiquité partisans et contempteurs du végétarisme. Alors que les débats faisaient rage entre les pythagoriciens, notamment, et les stoïciens à propos du droit qu'ont les hommes d'user des animaux et de leurs chairs, l'Église imposa très tôt aux fidèles de ne rejeter aucune nourriture, hors des périodes dites maigres, sous peine d'excommunication. Il faudra attendre les Lumières pour que « renaissent » le végétarisme et l'idée d'un éventuel droit des bêtes à ne pas être pas tuées et mangées par les hommes. Les principales figures de l'éthique animale qui s'inscrivent dans ce sillage prônent aujourd'hui le « véganisme », c'est-à-dire la fin de toutes les formes que peut prendre l'exploitation des animaux, et tout particulièrement l'élevage. De telles positions suscitent des réactions hostiles de la part des industriels, mais aussi des philosophes se revendiquant de l'humanisme. Selon ces derniers, l'intérêt que suscite le mode de vie végane témoignerait même du déclin des valeurs occidentales.
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