Le triskell & l'écharpe ; la transceltique d'un maire breton

• Date de parution : 01/09/2004
• Editeur : Cheminements
• EAN : 9782844782519
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : (-)
• Collection : (-)
• Genre : Histoire
• Thème : Histoire Essais
• Prix littéraire(s) : (-)

A l'opposé d'un communautarisme étriqué replié sur lui-même, cet ouvrage donne les clés de la " Celte attitude ", un celtisme résolument moderne qui rime avec humanisme et mondialisme et se vit au quotidien, comme une force de progrès et d'aventure humaine.
Ayant bien connu dans sa jeunesse les... Voir plus

A l'opposé d'un communautarisme étriqué replié sur lui-même, cet ouvrage donne les clés de la " Celte attitude ", un celtisme résolument moderne qui rime avec humanisme et mondialisme et se vit au quotidien, comme une force de progrès et d'aventure humaine.
Ayant bien connu dans sa jeunesse les honteuses dérisions de " plouc ", parce qu'il était né dans un " Plou " traditionnel de Bretagne centrale (le Plou Ildut, devenu Ploerdut en Morbihan), Yves Guilloux a redécouvert durant ses années universitaires à Rennes la force de ses racines celto-bretonnes, en une période où commençait à s'affirmer le fort mouvement de renaissance celtique, qui a abouti au " revivalisme ", bien connu depuis 1970-1975.
Nombreux sont les acteurs culturels, économiques, politiques de ce renouveau, qu'il a pu rencontrer et avec lesquels il s'est souvent lié d'amitié, parmi lesquels Gilles Servat, Alan Stivell, J-F. Kemener, A. Le Meut, Brenda Wooton... Poursuivant son " voyage transceltique " d'approfondissement de sa double culture, Yves Guilloux a méticuleusement exploré les chants et danses de terroir, mais aussi la gastronomie bretonne (l'andouille pourlète, en particulier), les costumes traditionnels, le symbolisme, l'imaginaire et la littérature celtes, croisant notamment l'histoire des Gaules, la légende arthurienne et l'universalisme celtique jusque sous les ors de l'actuelle république.
Ce livre, qui traduit l'évolution en celtitude d'un citoyen ayant assumé des responsabilités de maire, de conseiller régional et milité dans des associations culturelles et civiques, peut aider d'autres Bretons, et plus largement les Celtes, à se réapproprier leur " identité " afin de mieux vivre leur statut de citoyen du monde, tant il est vrai que le fait de savoir que l'on est " de quelque part " aide à accepter l'autre et ses différences.