"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L''expression faciale de peur est un important vecteur d''information sociale et environnementale. Bien qu''en condition naturelle les visages apeurés apparaissent principalement dans notre champ visuel périphérique, nous méconnaissons les mécanismes cérébraux qui sous-tendent cette perception. Nous avons démontré, grâce à des études comportementales, des enregistrements MEG et intracrâniens, que la perception de la de peur est efficace en grande périphérie. La perception de la peur en périphérie génère une réponse rapide de l''amygdale et du cortex frontal, et une réponse plus tardive dans les aires visuelles ventrales. Le contrôle attentionnel est capable d''inhiber la réponse précoce à la peur, mais également d''augmenter les activités postérieures plus tardives liées à la perception des visages. Nos résultats montrent non seulement que les réseaux impliquées dans la perception de la peur sont adaptés à la vision périphérique, mais ils mettent également en avant une nouvelle forme d''investigation des mécanismes de traitement de l''expression faciale, pouvant conduire à une meilleure compréhension des mécanismes de traitement des messages sociaux dans des situations plus écologiques.
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