L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Après plus d'un demi-siècle, un manuscrit refait surface, rendant à son auteur l'écho de ses vingt ans.
C'est l'université du texas qui conservait le temple de stephen spender, roman écrit en 1929 et que les éditeurs refusèrent à l'époque pour cause de pornographie. certes, l'ouvrage crie très haut la joie de vivre et la difficulté d'être durant l'entre-deux-guerres, ce long été de la saint-martin oú somnolait la république de weimar. mais l'adolescent anglais qui découvrait hambourg pressentait la venue de l'orage.
Raison de plus pour mettre les bouchées doubles, avec ses amis : w. h. auden, christopher isherwood (qui tirera de son apprentissage allemand l'adieu à berlin dont sortira l'illustre cabaret). ayant relu, corrigé, complété, son tout premier livre, spender lui permet d'enfin voir le jour. et le lecteur s'émerveille d'entendre une voix si fraîche et si grave célébrer le bonheur fragile d'un monde qui court à sa perte.
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