"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le Soleil de la nuit semble, à première vue, enraciné dans une contradiction oxymorique : soleil et nuit. Car, dans leurs objectivations empiriques, les deux s'excluent réciproquement.
Son contenu, issu du corpus de quelques fables chantées, vient réconcilier chacun des termes de cette contradiction. Réconciliation qui s'exprime en montrant comment dans les cultures et civilisations des Ekang, peuples de la forêt d'Afrique centrale, le soleil brille la nuit.
Il s'agit en réalité d'un soleil métaphorique et subtil qui brille non pas pour éclairer la matière, mais l'« anti -matière » ; non pas pour éclairer le corps, mais l'esprit et l'âme ; non pas pour éclairer le monde des vivants, mais celui des morts, ses mystères et ses arcanes ; non pas pour éclairer ce qui est visible et explicite, mais ce qui est invisible et implicite...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !