"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lorsque les nazis prennent le pouvoir en 1933, Henry n'a que cinq ans. Quelques années plus tard, le jeune garçon se retrouve avec sa mère dans un wagon à bestiaux, en route vers un endroit dont il ne soupçonnait pas l'existence : Auschwitz. Dès leur descente du train, Henry et sa mère sont séparés et, pour la première fois de sa vie, il se retrouve seul au monde. Parce qu'il est en bonne santé, il échappe à la chambre à gaz et les nazis l'envoient travailler comme palefrenier dans les écuries du camp. Auprès des chevaux, Henry trouve un peu de réconfort et quelques carottes et poignées d'avoine pour se nourrir. Animé d'une rage de survivre, il veut croire en l'avenir malgré l'infinie noirceur de son quotidien. Une leçon de vie, un témoignage unique pour que l'Histoire ne soit jamais oubliée.
Récit historique tiré d'une vrai histoire, un témoignage des horreurs de la seconde guerre mondiale,
Le petit palefrenier de l'enfer est témoignage, un message profond afin de faire preuve de tolérance. Henry déporté dans les ghetto de Lodz en Pologne où son père va mourir puis envoyé avec sa mère à Auschwitz où cette dernière perd la vie dans les chambres à gaz, Henry va courageusement survivre en étant interné à Buchenwald comme palefrenier dans les écuries du camp.
La plume est fluide, c'est bouleversant, documenté avec illustrations, des photo, des discours et retranscriptions, on découvre son témoignage jusqu'à son épilogue. Une histoire particulière parmi tant d'autres dans l'horreur de se conflit. Un témoignage qui s'écoule de 1933 à 2014, Henry à traverser les épreuves durant 12 ans de la monté du nazisme à la libération du camp, un texte puissant où à la narration un recul est pris de temps en temps.
"J'étais un Juif. Un virus. Un prisonnier. Un rouage dans cette machine à tuer. Une fois réveillé, il n'y avait nulle part où se cacher."
"Je compris, du haut de mes seize ans, que même si les nazis avaient endommagé mon corps, je ne m'étais jamais rendu. J'avais conservé mon humanité. Mon nom et mon âme. J'étais encore moi-même. J'étais toujours Heinz Adolf Oster."
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