L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La poétique de Kenneth White ouvre un espace en dehors non seulement des lieux communs et des codes, mais aussi des contextes que l'humanité s'est forgés pour se fournir un au-delà:la mythologie, la religion, la métaphysique et le sens de l'histoire, dont les restes, caricaturaux, servent toujours à donner une aura aux réalités dérisoires et à la déréalisation croissante d'un monde fermé sur lui-même et ses fantasmes.Ce que White entend par «passage extérieur» se dégage de manière diverse des quatre sections de ce livre:«Éloge de l'isolement», «Souvenirs de la province des pluies», «Le manuscrit des Mascareignes» et «Lettres du promontoire», où une méditation profonde s'allie à un humour... transcendantal. Dans tous les cas et dans tous les lieux évoqués dans ces «passages extérieurs», il est question de maintenir, face au théâtre du monde, une distance et un silence où l'être peut encore connaître une présence et une plénitude.Intellectuel nomade qui suit des circuits inédits, fondateur du mouvement géopoétique, Kenneth White vit actuellement, dans son «atelier atlantique», sur la côte nord de la Bretagne.
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