L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Après le vertigineux succès des champs d'honneur, la source ne s'est pas tarie : le monde à peu près nous inonde de bonheur.
Jean rouaud peint en virtuose les faux départs, les contretemps, les dérapages de son myope gaffeur.
Il y a un style rouaud qui nous entraîne d'emblée dans l'univers qui lui est propre.
Un libre plein, qui s'impose à vous dès la première ligne et ne cesse plus ensuite de vous tenir sous le charme.
Le roman magnifie l'ordinaire tristesse des vies moyennes à force de précisions dans la désolation et l'humour.
Est-ce l'intrication de la verve comique et du drame ? le monde à peu près ne ressemble à aucun autre roman. qui a osé écrire que le roman français était mort ?.
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