Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
« Avec de Gaulle » écrit de Gaulle dans sa radieuse simplicité, « s'éloigne le souffle venu des sommets, cet espoir de réussite, cette ambition de la France qui soutenaient l'âme nationale ».
Au ras des pâquerettes, le pays se plonge avec délicatesse dans la molle douceur des plaisirs décadents. Tout se relâche et se détend, allusions et mensonges, illusions et songes, épurations et libérations, dénonciations et annonciations, tout s'emmêle et se désunit. Réduite à elle-même, la France s'accroche en vain aux restes de son Empire...Les héros sont fatigués, les princes ruinés, les maîtres désarmés. On ne se bat plus ; on s'abaisse. On ne vole plus, on rampe. On ne tient plus le cap, on flotte à la dérive. La garde ne meurt plus, elle se rend. Adieu le casoar voici la plume au vent.... Les baisers perdus ont l'odeur des roses fanées ; les baisers volés, celle des marguerites effeuillées. Jeunes filles en fleurs, jeunes filles en pleurs. Terres immobiles et sables mouvants, grandes orgues et petites morgues. Corps de rêve et peaux de chagrin. Douceur de vivre et malheur d'aimer(...) Tournent les valses tristes, les tangos langoureux(...) Soufflent les saxos en détresse, les clarinettes nostalgiques(...) Pleurent les harmonicas, les accordéons, les violons des jours trop longs, les guitares des soirs, trop tard.
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