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Le jardin est l'image du paradis sur terre, un univers où l'homme peut jouer à être Dieu. Il laboure, sème, coupe et taille - ce que relève La Fontaine. C'est aussi là qu'il voit mourir ce qu'il a lui même planté. Et puisque le jardin est à taille humaine, c'est en le brodant qu'on parle le mieux du fil de la vie. A l'ombre des arbres, l'on y voit passer avec philosophie le rythme des saisons et le chemin des âges...
Voici en cent poèmes l'espoir du printemps et des amours naissantes, la maturité de l'été, saison de volupté et de mûrissement des fruits, qui glisse doucement vers l'automne mélancolique où les fleurs fanent, où les grilles rouillent sous la pluie, où seules les pommes arrachent un sourire à quelques facétieux comme Géo Norge. L'hiver plus silencieux « prépare en secret le printemps », selon Théophile Gautier, avant que tout recommence.
Le jardin, c'est tout cela à la fois, et nul autre sujet ne peut prétendre être aussi proche de nous.
Isabelle Ebert-Cau.
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