"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un père et son fils arpentent un paysage brûlé et abandonné. Ils sont en route vers la mer. Ou bien peut-être y sont-ils déjà allés ? Peut-être ne cherchent-ils qu'à trouver le bonheur. Leur faudra-t-il traverser l'enfer pour y parvenir ou tout ça n'est-il qu'un rêve ? Un rêve sans fin ni commencement. Un rêve dans lequel un père et son fils explorent non seulement un paysage déserté mais aussi leur propre paysage intérieur, bardés de toutes leurs questions... des questions le plus souvent sans paroles.
Dans Le dernier sel noir, Henrik Lange s'est inspiré de Pär Lagerkvist, célèbre écrivain suédois Nobel de Littérature en 1951, et plus précisément de poèmes tirés du recueil Pays du Soir et de nouvelles de Contes cruels. Henrik Lange a ensuite versé le tout, et lui avec, dans le roman de Cormac McCarthy, La route, pour finir par assaisonner la mixture d'une pincée de théâtre de l'absurde et d'une goutte de La divine comédie de Dante. Le résultat est l'histoire d'un cheminement vers la lumière.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !