L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Ma mère ne m'a jamais donné la main...» Tout est dit dès la première phrase du roman. L'asphyxie, c'est une enfance étouffée, le poids d'une faute, une blessure, un mal d'aimer incessant, des larmes, mais aussi une musique de rue, une poupée brisée, un cornet de frites, un parfum d'orange... Parce qu'un enfant n'a pas conscience du temps, L'asphyxie n'a pas de chronologie propre. Ce sont des soubresauts d'émotions, des coups d'oeil de la mère sur sa fille, le regard «dur et bleu», des gifles de mots. Dans son tout premier ouvrage, Violette Leduc dévoile déjà un style incisif, et plante la figure maternelle comme la proue énigmatique de son grand navire.
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