"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pourquoi L'Année la plus c... ? Et pourquoi pas ? Il y avait déjà eu, en 1967, Le Jour le plus c... de Pierre Dac. Après presque un demi-siècle d'existence, il était grand temps de ne pas laisser cette anthologie solitaire. Mais trouver environ 364 jours, tous plus c... les uns que les autres, n'était pas si facile.
Pierre Dac a bien voulu, du haut de là, écrire une préface posthume et - oh miracle ! -, dans les premiers pas bien trempés de Normal Ier, la réalité s'est mise à dépasser considérablement la fiction ! Le gibier abondant s'avérait et s'avère toujours peu farouche et même très bavard. Pour le signe de reconnaissance, c'est simple. Depuis les Tontons Flingueurs, tout le monde le sait : « Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît ! » Quant aux cons qui s'ignorent, il suffit de les éclairer à la lumière de la maxime dacienne :
« Le vrai con est celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui. » Mais, bien sûr, afin de ne pas décevoir l'avenir ni vexer le passé, le palmarès de cette année la plus c... n'a rien de définitif ; le titre sera remis en jeu, nous y veillerons, foi d'os à moelle !
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