"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
The Shadowhunters of Los Angeles star in the first novel in Cassandra Clare's newest series, The Dark Artifices, a sequel to the internationally bestselling Mortal Instruments series. Lady Midnight is a Shadowhunters novel. It's been five years since the events of City of Heavenly Fire that brought the Shadowhunters to the brink of oblivion. Emma Carstairs is no longer a child in mourning, but a young woman bent on discovering what killed her parents and avenging her losses. Together with her parabatai Julian Blackthorn, Emma must learn to trust her head and her heart as she investigates a demonic plot that stretches across Los Angeles, from the Sunset Strip to the enchanted sea that pounds the beaches of Santa Monica. If only her heart didn't lead her in treacherous directions… Making things even more complicated, Julian's brother Mark-who was captured by the faeries five years ago-has been returned as a bargaining chip. The faeries are desperate to find out who is murdering their kind-and they need the Shadowhunters' help to do it. But time works differently in faerie, so Mark has barely aged and doesn't recognize his family. Can he ever truly return to them? Will the faeries really allow it? Glitz, glamours, and Shadowhunters abound in this heartrending opening to Cassandra Clare's Dark Artifices series.
Après avoir lutté pour finir TMI, je me suis lancée avec grand espoir d’apprécier cette nouvelle trilogie qui se situe toujours dans le même univers que dans TMI. Et je me suis spoilée volontairement tout ce qu’il se passe dans Les Origines. J’étais donc prête à affronter cette nouvelle trilogie…
Malheureusement, je n’ai pas accroché aux personnages principaux. Tous les personnages sont d’accord pour dire qu’Emma est une chasseuse d’ombre super forte et pourtant je ne vois qu’un personnage qui n’écoute personne et dont on ne voit pas l’étendue de sa force au combat. (Bon du coup, elle a dû faire ses preuves bien avant ce roman et clairement je m’attendais à un peu plus de badasserie) En effet, une bonne moitié du roman est utilisée pour remettre en contexte l’amitié (et plus…) d’Emma/Julian ainsi que la série de meurtre qu’Emma veut résoudre. Tout ça est trop long et j’ai eu l’impression de ne pas avancer dans l’intrigue alors que j’étais déjà à la page 500… (L’effet brique est donc réussi mais 800 pages ne suffisent pas à rendre un livre bon)C’est pourquoi je me suis beaucoup ennuyée dans cette première partie et j’ai fait plusieurs pauses pour lire d’autres livres avec plus d’action et qui sont plus intéressants.
Malgré son jeune âge, Julian est considéré comme le papa poule de sa fratrie, un rôle qui lui va pas trop mal même s’il est surprotecteur avec ses frères et sœurs qui ne veulent qu’une chose : participer au combat. La famille Blackthorn était vraiment attachante surtout Ty que j’avais envie de serrer dans mes bras.
Je l’avais dit plus haut, la moitié du roman est chiante mais dans la deuxième, le rythme s’accélère un peu plus et on enchaîne le boss final, les révélations importantes ainsi que la résolution de l’intrigue presque d’un seul coup. Et c’est presque un soulagement de voir enfin la fin approcher.
Malgré tout, ce que je retiens, c’est que je n’arrive pas à accrocher au style d’écriture et/ou à la traduction. Cassandra Clare doit vraiment aimer les triangles amoureux parce qu’on en trouve dans CHACUN de ses romans, ainsi que le personnage gay/bi que tout le monde adore (et ça c’est pas un point négatif bien sûr mais c’est assez fatiguant de retrouver le même schéma qui se répète) et une pincée d’amour interdit et voilà. Et comme je n’ai pas envie de lire la saga en VO, je ne pourrais pas dire si la traduction me bloque aussi mais une chose est sûre, le titre qui avait beaucoup plus de sens en anglais n’en a pas du tout en français. Comme toujours je suis partisane des titres anglais.
Oh et le truc qui m’a vraiment mais alors vraiment fait chier c’est le nombre de fois que la devise des Blackthorn est répétée, j’en ai fait une overdose « LEX MALA LEX NULlA » (Une loi injuste n’est pas une loi) en veux-tu en voilà.
En conclusion, ce livre aurait pu être beaucoup plus court si les scènes inutiles étaient coupées (et il y en avait énormément…) et si l’intrigue avançait plus rapidement. Je ne pense pas lire la suite sauf si quelqu’un arrive vraiment à me convaincre que ça vaut le coup.
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