L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Roman des romans, tel est le sous-titre donné par Bontempelli à La vie intense. Dix anti-romans synthétiques en effet, et l'on pourrait candidement croire l'auteur quand il prétend dès le début vouloir «renouveler le roman européen». La vie intense date de l'année 1920. Époque oblige, il y a du futurisme dans cette structure éclatée, rapide et économe. Mais alors que Marinetti voulait être pape de la nouvelle école, Bontempelli ne retient du futurisme que son préalable hygiénique et destructeur. Sa clownerie dadaïste veut s'en tenir à briser l'illusion naturaliste, s'installer sans autre issue dans l'iconoclaste. Elle rejoint plutôt la cruauté légère et burlesque de Charlot, son autre contemporain. Le temps d'un éclair, presque inaperçu, le ton et les sujets deviennent soudain plus graves. Ces textes funambules, au bord du mystère du réel, n'oublient pas que la Grande Guerre vient de rendre opaques les objets, les sentiments, les rapports les plus élémentaires, la vie même. Derrière les masques et l'alibi de la culture, n'y aurait-il donc que des modes ?
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