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Jacques Baynac en collaboration avec Alexandre Skirda et Charles Urjewicz La Terreur sous Lénine Octobre 1917. Lénine prend le pouvoir.
Décembre 1917. La Tchéka est créée. C'est le début de la Terreur. Voilà pour la toile de fond.
Restent les acteurs, que Jacques Baynac, spécialiste de la Révolution russe, convoque aujourd'hui devant nous. Pour la première fois en Europe, on va pouvoir juger sur pièces. Tour à tour, les bourreaux et les victimes vont se succéder à la barre : membres de la Tchéka ; rescapés des massacres de Léningrad ou d'Astrakhan ; anciens concentrationnaires ; insurgés de Géorgie ; condamnés à mort de Moscou.
Le verdict ? Seule une différence d'intensité distingue le léninisme du stalinisme. Celui-là a commencé à dévoyer le mouvement révolutionnaire dans le sens de la dictature sur le prolétariat ; celui-ci l'a réalisée. Le léninisme est donc le premier responsable de l'anti-communisme. Cependant, dira-t-on, la violence révolutionnaire est légitime. Sans doute, à condition que les moyens justifient la fin, et non l'inverse.
Mais si le peloton d'exécution ne suffit pas à résoudre la question du pouvoir, comment les révoltés en finiront-ils avec le vieux monde ?
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