"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Représentée le 1er novembre 1611 devant la cour du roi Jacques Ier, La Tempête est une des dernières pièces de Shakespeare. Dans cette histoire d'amour et de pardon, les choses ne sont jamais ce qu'elles semblent être. Cette île est aussi mystérieuse que les personnages qui l'habitent : le magicien Prospéro, sa fille Miranda, l'esclave Caliban, ou encore Ariel, l'esprit des airs. Le bonheur de cette traduction d'Éric Sarner est d'en avoir retranscrit la richesse poétique, l'enchantement et l'humour. C'est le langage haletant ici qui l'emporte. Sans cesse le rythme déborde le sens, faisant de La Tempête une bourrasque heureuse et imprévisible.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !