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« Vous êtes désormais membre de la Guilde. À jamais. »Voici ce que Lord Nicholas Falcott entend à son réveil dans un lit d'hôpital, quelque part à Londres de nos jours... deux cents ans après avoir été laissé pour mort sur un champ de bataille napoléonien.La Guilde, une entité qui contrôle le voyage dans le temps, lui assure une vie de privilégié dans notre monde actuel. Mais Nicholas n'a pas oublié le passé. Surtout Julia Percy, une jeune fille aux yeux bruns restée là-bas, qui hante ses rêves aujourd'hui. Et le jour où la Guilde lui demande de transgresser la règle - ne jamais retourner d'où l'on vient - au mépris de tous les dangers, et de repartir en 1815 pour lutter contre une organisation secrète et rivale de la Guilde, Nicholas n'hésite pas à remonter la rivière du temps.
Ce livre n’a pas tenu ses promesses, loin de là. Pourtant, l’idée de ces voyages dans le temps me semblait très intéressante. Mais l’auteur s’est perdu en route dans tellement de descriptions que le début est lent. Tellement lent qu’il prend les 3/4 du livre. On tourne en rond entre les différents personnages principaux et les deux époques dans lesquels nous voyageons.
Puis il y a les noms donnés aux deux groupes de voyageurs dans le temps et le nom donné au « fléau » qui les font se monter les uns contre les autres pour essayer de l’endiguer. Autant le choix du nom de la « Guilde » me parle et je le trouve même parfait, autant les « OFAN », l’autre groupe, là je ne comprends pas. Cela ne veut rien dire. Même en essayant de voir si ce sont les initiales d’un mot anglais, cela ne marche pas. Est-ce une erreur de traduction ?
Ce que je ne comprends pas non plus, c’est pourquoi la plupart des protagonistes de l’histoire passent leur temps à dire « les Enfants » au lieu d’« OFAN ». Je ne vois absolument pas le rapport, mais peut-être que je suis passée totalement à côté.
Ensuite, il y a un « fléau » qui fait que tout ce petit monde se monte les uns contre les autres. Il l’appelle le « PAL ». C’est en fait le futur qui revient en arrière et bouleverse tout le passé. Là encore, si quelqu’un veut bien m’expliquer pourquoi ce nom, je veux bien. Toujours à la recherche d’une relation avec un mot anglais ou des initiales, je n’ai rien trouvé.
L’histoire d’amour entre les deux héros est téléphonée depuis le début, donc il n’y a aucune surprise. On sait très bien ce qu’il va se passer entre eux et surtout qu’il ne va y avoir aucun problème. Alors, quel est l’intérêt à par un profond ennui.
Comme tout est long à se mettre en place, la fin arrive comme précipitée. Et encore, si on peut appeler cela une fin. J’imagine en fait que ce livre a une suite, d’où la fin bâclée. Je ne pense pas que je la lirais, car j’ai vraiment été très déçue.
Du coup, je ne sais pas si je reprendrais de si tôt un roman de ce genre.
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