"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les campagnes des associations et des ONG en faveur des grandes causes - les droits de l'homme, l'humanitaire, l'écologie, la santé, l'aide sociale, le civisme, l'éducation...
- sont visibles dans notre environnement quotidien, dans la rue, le métro, à la télévision et dans la presse, au même titre que les publicités qui vendent des produits de consommation. Dans un premier temps, ces outils de communication ont été confiés à des graphistes comme Raymond Savignac, Bernard Villemot et Grapus. Depuis le milieu des années 1980, les associations, fondations ou organismes à but non lucratif font majoritairement appel à de grandes agences publicitaires.
Le discours des affiches est devenu plus direct : aux illustrations graphiques ont succédé des photographies au réalisme parfois cru, de type journalistique. Ce déplacement du graphisme l'ers les agences publicitaires soulève une question essentielle: peut-on cendre des grandes causes comme on vend de la lessive? Cet ouvrage analyse l'évolution des affiches et des films réalisés pour les grandes causes des années 1950 à nos jours.
À travers la diversité de ces campagnes, tour à tour drôles ou violentes, décalées ou hyperréalistes, il propose un panorama démontrant autant la qualité du graphisme français que le dynamisme des agences.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !