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Les années d'avant et après la deuxième guerre mondiale, dans un petit village du Dauphiné. Comment à la fin du conflit, ses habitants ont-ils pu continuer à vivre et, pour certains à se reconstruire, après avoir subi la peur au ventre, toutes les atrocités qu'inflige une telle monstruosité : la guerre ? « En puisant en eux des forces, du courage et de la détermination, ces hommes et ces femmes sont parvenus à relever la tête, en croyant en des lendemains meilleurs, pour mieux continuer à vivre. La guerre, dans toute son horreur, aura mis en évidence, de puissants sentiments d'amour et de fraternité, qui parlent à chacun d'entre nous.
Dans le Dauphiné, la guerre de 39/45, comme tant d'autres, a bouleversé bien des familles en prenant un fils, un père, un frère. Malgré tout, pour certains, il leur a fallu continuer à vivre dans l'attente et l'espoir que le combat n'emporterait pas un membre de la maisonnée surtout lorsque le fils d'un voisin était mort au front. Dans un village tout se sait. Après chaque disparition, survivre était devenu une obligation sans raison pour une mère, une femme ou une soeur. Heureusement, des histoires d'amour pas toujours évidentes à dévoiler, sont venues renforcer les familles, et des naissances ont redonné goût à la vie sans toutefois faire oublier complètement l'amertume de la guerre. La trahison a elle aussi, rempli les camps, les femmes n'y ont pas échappé souvent soumises « aux Jules », et par la suite a fait naître des vengeances. L'économie a mis le pays à terre, les campagnes n'ont pas été épargnées, mais le travail dans les champs et les fermes a permis à cette population de se nourrir. Ensuite, petit à petit, la vie a repris son cours.
Malgré tout, pour certains, il leur a fallu continuer à vivre dans l'attente et l'espoir que le combat n'emporterait pas un membre de la maisonnée surtout lorsque le fils d'un voisin était mort au front. Dans un village tout se sait.
Après chaque disparition, survivre était devenu une obligation sans raison pour une mère, une femme ou une soeur. Heureusement, des histoires d'amour pas toujours évidentes à dévoiler, sont venues renforcer les familles, et des naissances ont redonné goût à la vie sans toutefois faire oublier complètement l'amertume de la guerre.
La trahison a elle aussi, rempli les camps, les femmes n'y ont pas échappé souvent soumises « aux Jules », et par la suite a fait naître des vengeances.
L'économie a mis le pays à terre, les campagnes n'ont pas été épargnées, mais le travail dans les champs et les fermes a permis à cette population de se nourrir.
Ensuite, petit à petit, la vie a repris son cours.
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