"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Travailleur humanitaire en Afghanistan durant deux ans, Julien Lacombe collecte à la façon d'un ethnographe un ensemble de récits de vie, d'histoires et d'impressions sur ce pays déchiré. De ces matériaux qu'il partage avec la dessinatrice Sarah Arnal naît La première fleur du pays sans arbres.
Mai 2004: deux ans et demi après la chute des Talibans, le narrateur arrive en Afghanistan pour y conduire un projet de développement financé par la Banque Mondiale. Vingt ans après Le Photographe de Guibert-Lefèvre-Lemercier, on retrouve le même pays et les mêmes gens. Cette fois-ci, le pays est à terre, dévasté par les 20 années de guerre. Pourtant, l'envie d'aller de l'avant et de tout reconstruire est plus forte que tout. Avec ce récit mis en image en noir et blanc, d'un trait minimaliste, retranscrivant la rugosité et le côté brut du pays et de ses histoires, les auteurs ont la volonté de proposer un regard original sur la renaissance de l'Afghanistan.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !