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Une malle en bois, longue d'un mètre, haute d'environ cinquante centimètres, avec des pieds courts et une base élargie pour résister au roulis du bateau. Dans le passé, tout marin digne de ce nom sillonnait les mers du globe accompagné de cette espèce de malle, appelée « caisse » dans le jargon, où il conservait ses effets personnels, ses biens, ses souvenirs. Il en existe une, alourdie par le temps et les objets, marquée sur un côté d'un sigle gravé au couteau, JTKK, et d'une date : 1894.
C'est l'année où elle descendit pour la dernière fois dans la cale d'un bateau. À partir de ce moment, son propriétaire, Józef Teodor Konrad Korzeniowski, prit le nom de Joseph Conrad et abandonna le métier de marin pour devenir écrivain. Fruit d'un long travail de recherche, ce livre qui se lit comme un roman retrace la vie en mer d'un des plus grands narrateurs de tous les temps : les bateaux sur lesquels il navigué, les personnes qu'il a rencontrées, les routes qu'il a suivies et les aventures qui lui ont inspiré de nombreux personnages, les décors et les évènements qui habitent nombre de ses oeuvres.
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