"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La fin dans le monde est une composition en cinq parties. Le titre profite de l'homonymie heureuse avec « la faim dans le monde » pour reprendre le motif lancinant « apocalyptique » de la fin du monde et des fins annoncées (de la métaphysique, de l'Histoire des religions, etc.).
La première partie est autobiographique : elle évoque discrètement Jacques Derrida (son amitié et son deuil).
La deuxième partie, qui renverse la fameuse formule de Coleridge (a witting suspension of disbelief ») creuse philosophiquement et combativement la relation du sujet moderne (« autonome en émancipation ») avec la foi, les croyances, la laïcité, la « sortie du religieux »...
La troisième partie, centrée autour du « traduire » en général, évoque la figure de Vernant, interroge la francophonie et la diversité européenne et la mondialisation.
La quatrième partie est un exercice d'admiration et de lecture de grandes figures contemporaines (Geremek, Cixous, Koun, Claude Lanzmann) et de jeunes poètes contemporains.
La cinquième partie condense et diversifie à la fois ma « poétique » : elle esquisse et en même temps généralise en « théorèmes » les grandes questions de la « théorie contemporaine ».
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