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La fille qui s’échappa d’Auschwitz – Ellie Midwood
Histoire vraie.
L’auteure a décidé dans histoire romancée dans une lecture accessible, mais qui a voulu gravir autour de la version des faits, de se consacrer à la période de 1943 à 1944, à la préparation et à la soustraction du camp d’Auschwitz de deux héros.
Parmi ces résistants que sont Edek Galinski et Mala Zimetbaum, est née aussi une belle histoire d’amour.
Ils n’ont pas été les seuls à vouloir s’échapper, on y apprend dans ce roman d’autres évasions et à l’instar de bons Allemands, la vie du SS Edward Lubusch.
Pour ce qui n’aime pas les romans, mais les récits, Wieslaw Kielar a écrit dans « Cinq ans à Auschwitz » (édition Robert Laffont, 1992, traduction de Frank Straschitz, cette histoire.
Je n’avais pas l’impression au départ d’y lire une histoire poignante et au fil des pages, le rythme change, l’émotion prend, la frayeur s’empare de moi, l’écriture s’inscrit dans la mémoire. Un beau roman d’exemplarité méconnue.
C’est difficile de dire que j’ai aimé ce livre tant l’auteure arrive à nous plonger dans l’ambiance d’Auschwitz. Ainsi, c’est une lecture que j’ai trouvée assez dure car très bien documentée et donc très réaliste. Je suis cependant ravie d’avoir pu découvrir Mala et Edek et je suis admirative de leur courage de mener le combat au cœur même de l’enfer.
Après nous avoir présenté Alma Rosé dans son précédent roman « La violoniste d’Auschwitz », cette fois-ci, Ellie Midwood se penche donc sur l’histoire de Mala Zimetbaum jeune juive polonaise qui fut assignée au rôle d’interprète pour les SS dès son arrivée à Auschwitz. Ce rôle lui conférant quelques privilèges, elle en profita pour aider, autant que possible, les autres détenus. Mala est surtout connue pour avoir fait partie de la résistance au sein même du camp de concentration et pour être la 1ère femme à s’en être échappé avec son grand amour, un autre prisonnier du camp, Edward Galinski.
Ce livre relate donc le quotidien au sein du camp, la rencontre des 2 jeunes amoureux ainsi que la mise en place de leur plan d’évasion.
C’est un livre que je vais garder précieusement et que je conseillerai. On parle souvent du devoir de mémoire et oui en effet, je suis persuadée qu’il est nécessaire mais ce n’est pas facile de se confronter à la noirceur de la nature humaine et force est de constater que les hommes n’apprennent pas de leurs erreurs…
Maintenant, j’attends les beaux jours pour me plonger dans « La violoniste d’Auschwitz », mon petit cœur ayant besoin de se remettre de celui-ci avant.
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