Le pays vient de célébrer les 200 ans de la Campagne de France, sous le 1er empire, en 1814. C'est avec émotion que j'ai vécu à nouveau les adieux au drapeau de l'aigle, à Fontainebleau, le 20 avril 2014. Cette cérémonie a rendu hommage à l'empereur Napoléon 1er qui s'en alla en exil à l'île de Sainte-Hélène après son abdication. La résurgence du Bonapartisme, c'est l'échec d'une république injuste. La disparition du monde bipolaire USA/URSS a entraîné des excès de la part du système économique capitaliste. Il faut se réformer et revenir à la réalité de l'humain sous peine de voir le monde plonger dans des extrémités et des extrémismes dont personne ne veut. Nous cherchons dans notre passé une fierté qui a disparu. Il serait temps de retrouver les vraies valeurs, de réhabiliter le travail, de réconcilier les gens, d'envisager une politique d'avenir et de promotion de l'individu et non de poursuivre avec un semblant de gestion au « petit bonheur la chance ». Dans mon ouvrage je raconte quelques tranches de vie croquées au hasard de mes rencontres. Le sourire n'est pas au rendez-vous, c'est un présage funeste. Le malaise a des origines. Le Bonapartisme c'est l'idée d'une seule France, d'une France qui gagne, d'une France souveraine, la fierté de tout un peuple.
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