J'ai retrouvé le cynisme de Florian Zeller déjà approché dans La jouissance ainsi que son penchant à théoriser, mais le roman est plus sophistiqué et l'ambiance du Caire laisse flotter des effluves orientales qui le rendent plus intéressant.
Si la première partie semble tourner autour des mêmes sujets (l'hypocrisie de l'islam) et de l'obsession des protagonistes de trouver des femmes plus frivoles que voilées (comprendre : des prostituées), la deuxième partie introduit des éléments qui dynamisent la trame, jusqu'à la chute surprenante.
Un sentiment global assez mitigé, mais plus positif que celui éprouvé à la lecture de La jouissance.
Livre bof bof, ennuyant mais heureusement court. Je n'ai pas bien saisi l'intérêt de ce livre, ni où voulait en venir l'auteur, la fin est ironique mais ne m'a pas réellement beaucoup plu. Le narrateur est imbu de lui-même et très désagréable quand les autres personnages ne sont pas beaucoup plus intéressants. Je n'ai pas aimé.
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