A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
«Aux grenouilles de la modernité qui n'en finissent pas de se faire aussi grosses que le boeuf, aux éléphants poétiques gambadant dans la forêt de l'Être, Supervielle répond par la fable, et prête aux dieux, aux bêtes et aux arbres sa parole ou son silence. Il faut, cela va de soi, mettre Dieu au singulier. Même s'il arrive à Vénus, au corps "plein de lignes", de faire une brèche dans ce monothéisme poétique, le pluriel nous entraînerait dans un réseau par trop archaïque. Un seul Dieu, donc, paré d'une majuscule, en qui l'on reconnaîtra un cousin éloigné de celui de la Genèse, respectant grosso modo la chronologie biblique. "Si je crois en Dieu, ce n'est qu'en poésie", disait Supervielle à Nadal. Prenons au pied de la lettre cette déclaration, non pour sa portée religieuse ou métaphysique, qui n'est pas notre
affaire, mais pour sa portée poétique. Dieu est ici ce que les rhétoriciens appelleraient une fiction.» Jean Gaudon.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste